[Principe du plaisir] 1 - Le plaisir comme droit humain (et divin)
Le plaisir est trop souvent vu comme une “récompense” qu’on s’accorde après une journée de dur labeur. On se le refuse sur la base de jugements arbitraires liés à notre productivité et à notre impression d’en être dignes. Cette mentalité s’inscrit dans une idéologie colonialiste et suprémaciste qui nous réduit à des machines productives, où le plaisir ne sert qu’à motiver notre productivité future. En nous connectant à l’énergie du luxe radical, nous découvrons le véritable sens de la régénération par le plaisir. Cette connexion protège ce qu’il y a de plus humain en nous: l’essence qui nous permet de servir d’un espace de présence et d’ouverture. Dans cette métabolisation, nous allons explorer la place du plaisir comme état radical et libérateur.