Le plaisir est trop souvent vu comme une "récompense" qu'on s'accorde après une journée de dur labeur. On se le refuse sur la base de jugements arbitraires liés à notre productivité et à notre impression d'en être dignes. Cette mentalité s'inscrit dans une idéologie colonialiste et suprémaciste qui nous réduit à des machines productives, où le plaisir ne sert qu'à motiver notre productivité future.